vendredi 20 novembre 2015

La réalité dépasse parfois la fiction


236 dangereux condamnés ont été relâchés dans la nature... 


Paris, le 14 octobre les policiers manifestent pour leur collègue et ami Yann Saillour. 
Un multirécidiviste en permission décide de faire un braquage, à l'aide d'un complice, pour fêter cette liberté provisoire, ils sont rattrapés par la police dans les embouteillages. Se sentant en danger l'homme en permission va faire feu sur la voiture de police, sa première balle atteint Yann Saillour à la gorge. Les policiers répliquent alors, mais l'homme va faire feu de plus belle et va vider son chargeur. 
La seule question de cette histoire : comment cet homme a-t-il pu obtenir une permission ? 
236 criminels ont ainsi pu obtenir une permission rien que cette année. 
Expliquer à sa famille que sans cette balle les policiers n'auraient pas pu répliquer, car ils ne peuvent tirer les premiers même dans un cas comme celui-ci. Cette catastrophe remet en cause la définition du cas de légitime défense pour les policiers. 

Source : Le nouveau détective numéro 1727 du 21 octobre 2015.

3 commentaires:

  1. j'ai vu au JT, qu'il y avait un des terroristes rechercher qui était censé être en prison mais qu'il n'était pas rentré après une permission!!!! Ils sont en prison et ils ont le droit de sortir c'est quand même pas normal

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  2. Je trouve ça complètement absurde ces histoires de permissions, si ils sont en prison c'est bien pour une raison, et après voilà ce que ça donne !

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  3. Oui voilà, si ils sont là bas c'est pour une raison, c'est pas juste une garderie quoi ...

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